There is a castle on a cloud /I like to go there in my sleep /Aren't any floors for me to sweep /Not in my castle on a cloud ( pas que je fasse tellement le ménage chez nous mais bon... c'est cute quand même)



























 
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A propos de moi, hein? Ben y'a pas grand chose a dire sinon que je viens de trouver toute seule comment je dois faire pour remplir cet espace et que je suis pas peu fiere de moi !!!



























Mymy's castle on a cloud
 
lundi, mai 03, 2004  
Bon, petite déprime passagère en partie liée à ma note de psychophysiologie... je suis bien contente de ne pas être allée voir ma note le jour même en définitive. Mais bon, c'est pas comme si je ne m'y attendais pas, alors je devrais passer par-dessus finalement. Mais ça me fait me souvenir de dicussion que j'ai eu au Fort en fin de semaine : des gens qui me demandent ce que je fais en psycho et ce que je veux faire avec ça et puis... ben j'ai rien à répondre. Le fait est que même si je ne suis pas mauvaise, loin de là, je ne suis pas assez bonne pour aller au Doc ( quand on y pense, je pourrais être la 15ième ou la 65ième sur la liste que ça changerait rien pour rentrer au Doc... ) alors les gens du Fort me demandent pourquoi je reste là... ils me suggèrent d'aller en histoire, bien sûr, ou en muséologie. Au moins, ça pourrait me mener à quelque chose de concret. Deux univers très différents le département de psycho et le Fort... en psycho, il suffit de dire aux gens : de toute façon c'est pas perdu (ma phrase fétiche quand je sais plus quoi dire) et tout le monde hoche de la tête pour t'approuver. Au Fort, quand je dis ça, ils me disent : ben, tu perds du temps... et de l'argent. Un peu plus terre à terre.

Alors voilà, je l'ai déjà dit, je le pense toujours, le futur c'est poche et apparemment je suis pas trop douée pour planifier les choses... Et quand tu commences à entrer dans ce cercle vicieux de pensées, il y a l'argument de l'évolution de tes ami(e)s par rapport à la tienne, le fait que tous les gens te semblent plus heureux et tu t'enfonces, tu t'enfonces, un peu par sadisme et tu te sens poche et là tu ressors ta note de psychophysiologie parce que ça fait un bout de temps (au moins 30 sec) qu'elle n'était plus à ton esprit, et la tu te souviens que tes amies d'étude ont eut des notes bien meilleures que la tienne et tu te sens un peu plus poche et tu te dit que, merde, t'as la fâcheuse tendance de te lier d'amitié avec des gens qui sont trop intelligents et bla et bla et bla

Mais c'est franchement nul comme raisonnement et ça me tente pas, surtout que je vais souper avec des amies ce soir et en plus que j'ai pas à penser à l'école avant 4 longs mois, alors je m'en sacre comme de l'an 40 ! Gros point positif de ma job, contexte totalement différent de mes études, ça fait du bien. Je peux parler avec les gens au lieu de devoir les étudier ;)

Et puis pour les études, c,est simple, soit je prends des cours intéressants mais que je pourrais couler, soit je prends des cours faciles et ennuyant comme une partie des plus vieux le font pour monter ma moyenne... Pour ce qui est de l,évolution... ben en temps et lieu. Va falloir que je commence à fréquenter les amis des amis des amis, c'est la meilleure façon de rencontrer d'autres gens. Et pour la note de psychophysio... ben j'évite les cours de cette prof là. Moi le par coeur-vomis-oubli, c'est triste mais je peux pas...

Faut bien s'accepter comme on est, non ?!? :)

*source de frustration : internet est lent !!! et en plus, il a la fâcheuse d'oublier qu'il est en train de me downloader une page et de se déconnecter. Je dis à bas l'indépendance des ordinateurs !!! *


4:02 PM
Hein ? Quoi ? T'as-tu dit quelque chose ?

 
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